Communiqué suite à la désignation du candidat UMP
Réaction suite à la désignation de Thierry Mariani
pour les élections régionales en PACA
pour les élections régionales en PACA
En désignant Thierry Mariani comme tête de liste pour les élections régionales en PACA, l’UMP choisit la droite dure, celle qui tourne le dos aux problèmes sociaux et au progrès, celle des tests ADN pour faire la chasse aux immigrés et celle qui ne voulait pas du Pacs.
En le choisissant, l’UMP ne s’intéresse pas au devenir de PACA et de ses départements, mais au message politique national dont a besoin Nicolas Sarkozy en 2012 : marteler un discours sécuritaire pour attiser la peur, malgré l’échec patent de toutes les politiques menées par le même Nicolas Sarkozy depuis 2002.
En le choisissant, l’UMP ne fait pas le choix non plus du respect des électeurs : M.Mariani est le type même de l’élu qui n’assume pas ses responsabilités mais continue à percevoir ses indemnités : il a siégé 7 fois depuis 6 ans en 22 réunions plénières du Conseil régional, et 1 fois sur 40 en commission permanente, portant ainsi son jeton de présence en séance à environ 20000 euros.
Soutien indéfectible et aveugle aux versions actuelles des réformes des collectivités territoriales et de la fiscalité locale, la candidature de M. Mariani représente notamment et surtout pour les Hautes-Alpes la fin de l'autonomie du Conseil Général et de nos petites communes rurales.
En le choisissant, l’UMP ne s’intéresse pas au devenir de PACA et de ses départements, mais au message politique national dont a besoin Nicolas Sarkozy en 2012 : marteler un discours sécuritaire pour attiser la peur, malgré l’échec patent de toutes les politiques menées par le même Nicolas Sarkozy depuis 2002.
En le choisissant, l’UMP ne fait pas le choix non plus du respect des électeurs : M.Mariani est le type même de l’élu qui n’assume pas ses responsabilités mais continue à percevoir ses indemnités : il a siégé 7 fois depuis 6 ans en 22 réunions plénières du Conseil régional, et 1 fois sur 40 en commission permanente, portant ainsi son jeton de présence en séance à environ 20000 euros.
Soutien indéfectible et aveugle aux versions actuelles des réformes des collectivités territoriales et de la fiscalité locale, la candidature de M. Mariani représente notamment et surtout pour les Hautes-Alpes la fin de l'autonomie du Conseil Général et de nos petites communes rurales.